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Meurtrier des Cévennes : le profil très inquiétant de Valentin Marcone se dévoile

L’auteur d’un double meurtre dans une scierie est désormais surnommé « Le meurtrier des Cévennes ». De son vrai nom Valentin Marcone, cet homme de 29 ans a abattu son patron et un de ses collègues. En fuite depuis 48 h, le procureur de Nîmes révèle son profil des plus inquiétants.

Le profil du meurtrier des Cévennes révélé

Mardi matin, « Le meurtrier des Cévennes » a abattu son patron est de ses collègues dans la scierie où il travaillait avant de fuir. Actuellement recherché par 350 gendarmes, le procureur de Nîmes a donné une conférence de presse pour dévoile le profil de Valentin Marcone. Une chose est sûre : l’ « homme est apte à la survie en milieu hostile », est très « solitaire » et « relation amicale ou soutien ». N’ayant jamais vu de psychiatre, la personnalité du fugitif est inconnue.

Le procureur affirme qu’il n’est pas survivaliste, mais « a une véritable dangerosité » notamment puisqu’il possède un fusil équipé d’une lunette de visée. Il s’agit d’une arme « particulièrement dévastatrice » puisqu’elle touche sa cible à plusieurs centaines de mètres. L’homme avait-il planifié ces meurtres ?

Le meurtrier des Cévennes activement recherché

À en croire le procureur, le comportement de l’employé a changé quelques jours avant le drame. Il venait travailler avec un gilet pare-balles. Le numéro 2 de la gendarmerie de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, montre son inquiétude : « Cet individu s’entraînait très régulièrement au tir, et surtout au tir à longue portée, (…) et il a peut-être positionné un poste de combat ». Toutefois, il aurait bel et bien agi seul.

En fuite dans le village des Plantiers, « Le meurtrier des Cévennes » semble s’être retranché dans un endroit difficile d’accès, mais proche du drame. Le général Ott confie que le secteur est « extrêmement complexe d’accès, extrêmement dangereux et pratiquement impraticable la nuit ». Malheureusement, les militaires et les forces de l’ordre doivent lutter contre le temps puisqu’un acte suicidaire n’est pas à exclure.

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