Kendji Girac blessé : ce qu’il a dit aux enquêteurs
Après deux jours et demi d’hospitalisation, Kendji Girac a pu être entendu par les gendarmes ce mercredi 24 avril dans le cadre d’une audition à l’hôpital Haut-Lévêque de Pessac. Découvrez sa version des faits.
Les fans de Kendji Girac sont sous le choc. Ce lundi 22 avril, aux alentours de 5h30 du matin, le chanteur a été blessé par une balle au thorax dans une aire de gens du voyage à Biscarrosse dans les Landes. Transporté en urgence dans un hôpital à Bordeaux, il a subi plusieurs opérations et est désormais tiré d’affaires. Si l’interprète du tube Color Gitano a affirmé qu’il s’est blessé seul avec une arme qu’il venait d’acheter en brocante, une enquête pour tentative d’homicide volontaire a été ouverte.
Ce mercredi 24 avril le chanteur de 27 ans a pu s’exprimer auprès des gendarmes. Selon les informations de nos confrères de Sud Ouest, il aurait donné sensiblement la même version que les éléments qui avaient pu être recueillis à son chevet, lundi 22 avril, soit quelques heures après qu’il ait été victime d’un tir dont la balle a traversé son thorax. Le principal intéressé a confirmé s’être « malencontreusement blessé en manipulant ce pistolet colt 45 ».
Un proche du chanteur dévoile son hypothèse
Si les enquêteurs cherchent à connaître ce qui a bien pu se passer, un proche du chanteur a témoigné auprès de nos confrères de La Dépêche. Moïse Rozel a expliqué avoir un lien de parenté avec l’artiste. « Le père de ma femme et la mère de Kendji sont cousins germains, c’est pour cela qu’on l’assimile à notre petit-cousin dans notre famille », a-t-il expliqué au quotidien local. Le proche de Kendji Girac a tenu à faire part de son hypothèse. « Je suis certain que Kendji n’a pas voulu mettre fin à ses jours en retournant l’arme contre lui. Il est très jovial. J’ai ma petite idée sur ce qui s’est passé, mais je ne peux rien dire. Ce n’est pas mon rôle. Je laisse faire les enquêteurs », a-t-il confié. Avant de poursuivre : « J’ai d’abord eu très peur pour Kendji avant de me poser mille questions. Il y a encore beaucoup de zones d’ombre dans cette affaire ».
