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Voici le salaire nécessaire pour vivre dignement en France : êtes-vous au-dessus de la marge ?

Dans un contexte économique marqué par l’inflation, une récente étude dévoile le salaire mensuel pour vivre dignement en France en 2024.

Le SMIC est actuellement fixé à 1383,09 € (1/9)

Il est important de noter que le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) est actuellement fixé à 1 383,09 euros nets par mois.

Des coûts très différents selon les régions (2/9)

Cependant, le coût de la vie varie considérablement selon la région de résidence. Par exemple, les prix immobiliers à Paris sont bien plus élevés que dans les villes de moindre taille.

Le salaire minimum pour une vie décente (3/9)

Alors, peut-on vivre décemment en France en 2024 avec un salaire au Smic ? Selon les estimations de l’économiste, la réponse est loin d’être positive.

1 630 € pour vivre dignement en France (4/9)

En effet, il suggère qu’une personne célibataire et sans enfant devrait percevoir 1 630 euros nets par mois, soit 195 euros de plus qu’il y a dix ans.

Qu’en est-il des familles et des retraités ? (5/9)

Ces montants doivent être pris en compte après déduction de toutes les taxes et impôts sur le revenu. Pour une famille avec deux enfants, le couple devrait gagner 3 744 euros nets par mois. En revanche, pour les familles monoparentales, le montant requis est de 3 003 euros.

Un salaire plus élevé pour les familles et les retraités (6/9)

L’économiste s’est également penché sur les besoins des personnes retraitées, suggérant un revenu mensuel net de 1 836 euros. Pour un couple de retraités, ce montant devrait doubler.

Un niveau de vie basé sur plusieurs critères (7/9)

Ce niveau de vie minimum décent est défini par les chercheurs comme étant « un seuil au-dessus duquel on peut raisonnablement supposer que les ménages ont la capacité de participer effectivement à la vie sociale sans risque de connaître d’importantes privations ».

Une étude qui révèle des écarts préoccupants (8/9)

Il convient de ne pas confondre ces chiffres avec les seuils de pauvreté, qui définissent des niveaux d’exclusion sociale, alors que les budgets de référence visent à établir un seuil minimum d’inclusion sociale, comme le souligne Pierre Concialdi.

De nombreux Français ne vivraient pas « décemment » (9/9)

Cette étude met également en lumière un écart significatif entre les besoins des Français et leurs revenus réels. Malgré une augmentation du Smic, un tiers de la population française ne parvient pas à atteindre ces niveaux de revenus. Par conséquent, ils vivent en dessous du seuil de confort, selon l’économiste.

Le salaire minimum pour une vie décente

Il est important de noter que le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) est actuellement fixé à 1 383,09 euros nets par mois. Cependant, le coût de la vie varie considérablement selon la région de résidence. Par exemple, les prix immobiliers à Paris sont bien plus élevés que dans les villes de moindre taille.

Alors, peut-on vivre décemment en France en 2024 avec un salaire au Smic ? Selon les estimations de l’économiste, la réponse est loin d’être positive. En effet, il suggère qu’une personne célibataire et sans enfant devrait percevoir 1 630 euros nets par mois, soit 195 euros de plus qu’il y a dix ans.

Qu’en est-il des familles et des retraités ?

Ces montants doivent être pris en compte après déduction de toutes les taxes et impôts sur le revenu. Pour une famille avec deux enfants, le couple devrait gagner 3 744 euros nets par mois. En revanche, pour les familles monoparentales, le montant requis est de 3 003 euros.

L’économiste s’est également penché sur les besoins des personnes retraitées, suggérant un revenu mensuel net de 1 836 euros. Pour un couple de retraités, ce montant devrait doubler. Ce niveau de vie minimum décent est défini par les chercheurs comme étant « un seuil au-dessus duquel on peut raisonnablement supposer que les ménages ont la capacité de participer effectivement à la vie sociale sans risque de connaître d’importantes privations ».

Une étude qui révèle des écarts préoccupants

Il convient de ne pas confondre ces chiffres avec les seuils de pauvreté, qui définissent des niveaux d’exclusion sociale, alors que les budgets de référence visent à établir un seuil minimum d’inclusion sociale, comme le souligne Pierre Concialdi.

Cette étude met également en lumière un écart significatif entre les besoins des Français et leurs revenus réels. Malgré une augmentation du Smic, un tiers de la population française ne parvient pas à atteindre ces niveaux de revenus. Par conséquent, ils vivent en dessous du seuil de confort, selon l’économiste.

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