Que pensez vous des parents qui mettent leurs enfants dehors pour une histoire de grossesse ?
Chaque année, des millions d’enfants, partout dans le monde, font face à l’éclatement de leur famille. Dans plusieurs pays, le taux de divorce croît.1 Les enfants sont grandement affectés par le divorce et le potentiel de problèmes à court et à long terme est considérablement plus élevé chez les enfants dont les
parents sont divorcés. Alors que le divorce parental pose pour les enfants des risques significatifs qui justifient que nous nous en préoccupions, la recherche montre que ces effets négatifs ne sont pas les mêmes pour tous et qu’ils ne sont pas inévitables. Plusieurs facteurs peuvent réduire ces risques et promouvoir la résilience des enfants.2,3
Les trois facteurs qui affectent le plus le bien-être des enfants pendant et après la séparation ou le divorce de leurs parents peuvent potentiellement être contrôlés par les parents : le degré et la durée des hostilités entre les parents, la qualité des pratiques parentales et la qualité de la relation parent-enfant.
Bien sûr, c’est le bien-être des parents et leur propre capacité de bien fonctionner qui sous-tendent ces trois facteurs. En apprenant comment gérer leurs conflits, exercer leurs fonctions parentales de façon efficace et nourrir des relations chaleureuses et affectueuses avec leurs enfants, les parents peuvent avoir un puissant effet positif sur leurs enfants, même lorsqu’ils vivent des changements difficiles dans leur propre vie.
On ne saurait surestimer l’importance du rôle et des habiletés des parents pour aider leurs enfants à faire face au divorce, car ce sont eux qui peuvent atténuer ou potentiellement renverser les conséquences négatives potentiellement sérieuses qu’il a sur les enfants.
L’impact du divorce sur les enfants est bien documenté. La plupart réagissent au divorce de leurs parents en manifestant des émotions douloureuses, dont la tristesse, la confusion, la peur de l’abandon, la
culpabilité, les idées fausses, la colère, le sentiment d’être en conflit de loyauté, l’inquiétude et l’amertume. Plusieurs enfants ressentent un sentiment de perte lorsque l’un de leurs parents déménage à l’extérieur de la résidence familiale, lorsqu’un animal aimé est laissé derrière, ou même lorsqu’ils sont avec
un parent et s’ennuient de l’autre.2 Dans les situations de conflit intense et de violence domestique, les enfants peuvent ressentir du soulagement lors de la séparation. Leur réaction peut varier selon leur âge, mais presque tous les enfants partagent cette inquiétude universelle : « Que va-t-il m’arriver? »
On ne saurait surestimer l’importance du rôle et des habiletés des parents pour aider leurs enfants à faire face au divorce, car ce sont eux qui peuvent atténuer ou potentiellement renverser les conséquences négatives potentiellement sérieuses qu’il a sur les enfants.
L’impact du divorce sur les enfants est bien documenté. La plupart réagissent au divorce de leurs parents en manifestant des émotions douloureuses, dont la tristesse, la confusion, la peur de l’abandon, la culpabilité, les idées fausses, la colère, le sentiment d’être en conflit de loyauté, l’inquiétude et l’amertume. Plusieurs enfants ressentent un sentiment de perte lorsque l’un de leurs parents déménage à
l’extérieur de la résidence familiale, lorsqu’un animal aimé est laissé derrière, ou même lorsqu’ils sont avec un parent et s’ennuient de l’autre.2 Dans les situations de conflit intense et de violence domestique, les enfants peuvent ressentir du soulagement lors de la séparation. Leur réaction peut varier selon leur âge, mais presque tous les enfants partagent cette inquiétude universelle : « Que va-t-il m’arriver? »
En plus de révéler ces émotions difficiles, la recherche a aussi montré que les conséquences négatives du divorce à court terme incluent une baisse du rendement scolaire, une faible adaptation psychologique, sociale et émotionnelle et un concept de soi négatif.4 La santé physique des enfants est aussi compromise, particulièrement dans les situations de conflit élevé.5 Les méta-analyses montrent un risque accru d’effets négatifs à long terme pour une minorité (tout de même importante) d’enfants lorsqu’ils deviennent adultes, notamment un sentiment de bien-être moins élevé, un statut socio-économique plus faible, une moins bonne santé physique, des liens émotifs moins forts avec leurs parents – surtout leur père – et un plus haut risque de vivre eux-mêmes un divorce.6
Problèmes
L’exercice des fonctions parentales au cours d’un divorce présente des défis particuliers, parce qu’il est souvent difficile pour les parents de savoir ce que leurs enfants pensent ou ressentent réellement à propos des changements qui se produisent dans leur famille. Pour une variété de raisons, la plupart des enfants parlent très peu du divorce de leurs parents et de leurs propres sentiments complexes à ce sujet.2