Vaccin contre le Covid-19 : quatre ans après, la liste des symptômes persistants s’allonge

Retour sur le Covid-19
En décembre 2019, un nouveau virus venant de Chine s’est vite propagé dans le monde entier, inquiétant toutes les plus hautes autorités dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Une maladie infectieuse et très contagieuse appelée Covid-19 a vu le jour, ainsi qu’une pandémie sans précédent.
Les premiers cas diagnostiqués en France
En France, les premiers cas sont diagnostiqués fin janvier 2020 et on enregistre les premiers décès, causés par ce nouveau virus, une vingtaine de jours plus tard.
Le confinement
Le 17 mars 2020, un confinement général de la population est imposé. Un peu moins de deux mois plus tard, il est levé, mais le port du masque devient obligatoire. Les instances, en lien avec l’Institut Pasteur, réfléchissent à une campagne de vaccination.
De nombreuses interrogations
Différentes entreprises pharmaceutiques (Pfizer, AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson,…) ont alors conçu et proposé leurs vaccins en un temps record. S’en sont suivies de nombreuses interrogations.
Des effets indésirables confirmés
Après des millions de vaccins administrés et presque cinq ans de recul, les spécialistes du secteur médical ont pu signaler plusieurs effets indésirables comme de l’hypertension artérielle, de la myocardite/péricardite, des allergies ou encore des saignements menstruels importants.
Des effets secondaires graves ?
Jusqu’à aujourd’hui, de nombreuses personnes, dont des scientifiques, ne sont pas d’accord sur le fait que le vaccin anti-Covid serait à l’origine de plusieurs maladies. Une étude a pourtant démontré, il y a quelques mois, que le vaccin utilisé contre le Covid-19 peut entraîner des effets secondaires graves.

Une étude sur plus de 99 millions de personnes
L’étude a été réalisée par le Global Vaccine Data Network sur plus de 99 millions de personnes. Huit pays ont été au centre de ce projet (Argentine, Australie, Canada, France, Danemark, Finlande, Nouvelle-Zélande et Écosse) et les résultats ont été publiés dans la revue Vaccine.
Les mots des chercheurs
« La plupart des vaccinés avaient entre 20 et 59 ans et le plus grand nombre de doses a été administré en France », ont expliqué les chercheurs qui ont précisé que les vaccins provenaient des laboratoires Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Les résultats obtenus n’ont pas rassuré les professionnels de la santé et encore moins les patients.
Le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose veineuse
Les chercheurs ont remarqué une augmentation du nombre de syndromes de Guillain-Barré ainsi que de thromboses veineuses cérébrales après l’injection de la première dose du vaccin d’AstraZeneca. Le syndrome de Guillain-Barré se caractérise principalement par une faiblesse musculaire, alors que la thrombose veineuse est la formation d’un caillot sanguin dans une veine, empêchant la bonne circulation du sang dans le corps. La star française de la NBA, Victor Wembanyama, a été touché par ce dernier cas de figure il y a quelques mois, devant mettre un terme à sa saison.