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Un retraité de 78 ans récupère sa maison squattée en une journée grâce à une astuce méconnue mais très intelligente

Un retraité de 78 ans récupère sa maison squattée en une journée grâce à une astuce méconnue mais très intelligente

L’histoire du retraité de 78 ans qui récupère sa maison squattée en un jour ne concerne pas une astuce légale, mais une intervention des forces de l’ordre après qu’il ait déposé plainte pour dégradation. Le terme « astuce » est peut-être une simplification qui ne reflète pas la procédure légale, laquelle nécessite de porter plainte pour qu’une expulsion soit menée par les autorités.
Le déroulement des faits


Plainte et action : Le retraité a porté plainte contre X pour « dégradation ou détérioration d’un bien appartenant à autrui » après avoir constaté le changement de serrures.
Intervention policière : Les forces de l’ordre sont intervenues. La police a pu vérifier l’identité du retraité grâce à sa carte d’identité, prouvant qu’il était bien le propriétaire.
Expulsion : Le retraité a été autorisé à entrer dans son habitation, et les squatteurs ont été interpellés par la police, ce qui a permis de reprendre possession de son logement rapidement.
Ce qu’il faut retenir
Il est impossible d’expulser soi-même des squatteurs par la force ; cela est strictement interdit par la loi.
La seule voie légale est de déposer plainte pour permettre à la police d’agir.
L’affaire évoquée est un exemple de succès rapide d’une procédure judiciaire, même si dans certains cas, la lenteur administrative peut être un obstacle majeur.

C’est à ce moment précis que le propriétaire a fait preuve d’une intelligence tactique rare. Au lieu de rentrer chez lui pour contacter sa protection juridique et attendre des mois, il s’est rendu immédiatement sur place après avoir déposé une plainte pour dégradation.

Son objectif ? Empêcher à tout prix que les squatteurs ne se barricadent définitivement. Il a alors mis en œuvre une astuce simple mais décisive : le blocage physique de l’accès.

Le retraité s’est posté devant sa maison et a attendu qu’un des occupants sorte ou rentre. Profitant de l’ouverture du portail, il s’est précipité pour y coincer un objet ou son propre corps, empêchant ainsi la fermeture complète de l’enceinte.

Cette manœuvre a deux conséquences juridiques et pratiques majeures

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