Sarah Knafo déchaînée contre Jean-Michel Aphatie : cette attaque qu’elle n’a pas du tout aimée
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Après son passage dans La Grande Interview (CNews), pour parler du meurtre de la jeune Louise, Sarah Knafo a été critiquée par Jean-Michel Aphatie sur X. Touchée par les dires du journaliste, la députée lui a alors adressé une réponse cinglante.
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Le 10 février dernier, Sarah Knafo était de passage sur le plateau de La Grande Interview, sur CNews, afin d’évoquer le meurtre de la jeune Louise – qui a été tuée par un homme de 23 ans. Mais son intervention n’a pas été bien perçue par tout le monde. À commencer par Jean-Michel Aphatie qui, sur X, a non seulement déploré le fait qu’elle ait profité de ce drame pour faire l’éloge de son parti (Reconquête) mais a également tenu à pointer du doigt sa citation du journaliste Jean-François Revel, qu’elle a faite sur le plateau. « Surfant sur le malheur sans être contredite, Sarah Knafo pontifie et accuse. Au passage, la citation de Jean-François Revel est tordue, elle concerne l’univers totalitaire des régimes qu’il combattait. La démagogie à l’état pur. Étonnant, non ?« , a-t-il réagi, un brin accusateur.
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Une attaque que la principale intéressée n’a pas laissée passer puisque le 11 février, Sarah Knafo lui a adressé, sur X toujours, une longue déclaration dans laquelle elle répond aux critiques faites par Jean-Michel Aphatie. Interpellée d’avoir mal interprété les mots de Jean-François Revel, la compagne d’Éric Zemmour a ainsi explicité le fond de sa pensée : « Rappelons la phrase de Jean-François Revel que j’ai citée en parlant de la mémoire de Louise, Lola, Thomas et Philippine : ’Pour juger un régime politique, comptez les cadavres’. […] [S’il] était là, il dénoncerait notre situation comme il dénonçait toujours le mal : sans prendre de gants. Peut-être même vous montrerait-il du doigt« , a-t-elle ainsi assuré, prenant plusieurs exemples à l’appui. Et de poursuivre, catégorique, au sujet de sa prise de parole dans cette affaire judiciaire : « Je ne surfe nullement dessus, bien au contraire : je fais mon possible pour l’endiguer. Je donne les moyens de le faire. Ils existent, ils sont simples, je les explique et j’exige qu’ils soient mis en œuvre sans attendre.«