Pape François : le monde sous le choc en découvrant qu’il avait un…

Le pape François est décédé à l’âge de 88 ans
Le 21 avril, dans la matinée de ce Lundi de Pâques, le pape François est décédé à l’âge de 88 ans. La veille, le souverain pontife était apparu au balcon central de la basilique Saint-Pierre pour la bénédiction de Pâques.v
Un engagement en faveur des plus pauvres
Le pape affaibli a simplement murmuré un “Joyeuses Pâques” aux fidèles rassemblés place Saint-Pierre avant de confier à l’archevêque Diego Ravelli la lecture de la bénédiction de l’Urbi et Orbi. Premier pape non européen depuis des siècles, celui qui a choisi le nom de Saint-François d’Assise lorsqu’il a été élu en 2013, a marqué son pontificat par son engagement en faveur des plus pauvres.
Le pape tenait beaucoup à sa sœur, Maria Elena
Si le Vatican était le siège de son ministère pétrinien, le cœur du premier pape jésuite et latino-américain battait toujours pour l’Argentine. Malgré les lourdes responsabilités de sa charge, le 266ᵉ chef de l’Église catholique, né Jorge Mario Bergoglio en 1936 en Argentine, prenait toujours le temps de passer un coup de fil à sa petite sœur, María Elena.
Un lien très fort
En novembre 2022, à l’occasion d’un déplacement du pape François dans le nord de l’Italie pour les 90 ans d’une de ses cousines, le journaliste suisse Arnaud Bédat, auteur de l’ouvrage François l’Argentin (Flammarion, 2014), était revenu sur les liens qui unissaient le souverain pontife à sa famille, en particulier à sa petite sœur, alors âgée de 75 ans. Si María Elena voyait moins son frère parti à Rome, elle profitait de lui “tous les jours à la télévision”, avait-il rapporté à Vatican News.
Une femme discrète
María Elena “regarde, mais elle ne commente pas”. “Elle est remarquablement discrète, mais elle le suit évidemment beaucoup à travers la télévision. Et puis grâce au téléphone, parce qu’évidemment son frère l’appelle.”
Une adresse secrète à Buenos Aires
“Elle est aujourd’hui dans un lieu qui est, et je le dis souvent en rigolant, l’adresse sans doute la plus secrète de Buenos Aires, où elle est entourée de différentes personnes”, avait ajouté le journaliste.
Un éloignement qui pèse
L’auteur y était allé d’une petite confidence : “Chaque fois que j’allais voir María Elena, depuis 2013 et je l’ai vue à peu près chaque année, voire deux fois par an, elle me disait tout le temps : ‘Tu crois que Jorge, il va venir quand en Argentine ?’ C’était sa question récurrente chaque fois que j’allais la voir”.
Une petite sœur résignée ?
Finalement, María Elena aurait compris que la mission de son aîné à Rome allait peut-être l’en priver pour toujours. “La dernière fois que j’étais allé la voir, fin juin début juillet, elle ne m’a pas posé la question, comme si elle connaissait la réponse, mais je ne me suis pas permis de lui demander”, avait-il poursuivi.
Le pape appelait régulièrement sa sœur
Entre le frère et la sœur, le lien restait constant. Le pape appelait sa petite sœur environ trois fois par mois pour un échange téléphonique très attendu par l’un comme par l’autre.