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Michel Blanc mort suite à un choc anaphylactique : ce que l’on sait

Michel Blanc a tiré sa révérence dans la nuit de ce jeudi 3 octobre. Selon ses proches, il serait décédé d’un choc anaphylactique. 

Michel Blanc aura marqué toute une génération. L’acteur est décédé dans la nuit de ce jeudi 3 octobre à l’hôpital à la suite d’une mauvaise réaction à un médicament : un choc anaphylactique, selon ses proches. 

La journée du 3 octobre était sous le signe des rendez-vous médicaux pour Michel Blanc. En effet, l’acteur était convoqué pour un examen de routine des reins dans un cabinet d’imagerie médicale à Paris. Dans le cadre de cet examen, un produit de contraste a été injecté en intraveineuse l’acteur permettant une meilleure analyse de ses organes, une méthode classique dans ce type d’intervention. Cependant, tout ne se serait pas déroulé comme prévu. L’acteur aurait alors mal réagit à ce produit lui procurant des gonflements de la peau et des muqueuses similaires aux symptômes d’un œdème de Quincke (au niveau du cou et de la tête). 

Il sera, à la suite de cette réaction allergique, transféré aux urgences alors qu’il a déjà été la cible de six arrêts cardiaques. Malgré les tentatives des médecins, l’acteur succombera dans la soirée d’une réaction allergique rare : un choc anaphylactique, selon son entourage. 

D’une extrême violence, le choc anaphylactique serait la forme la plus sévère de l’anaphylaxie, une réaction allergique qui peut dans certains cas être mortelle. Cette issue resterait cependant très rare. 

Michel Blanc, un éternel hypocondriaque 

Michel Blanc n’a jamais apprécié les rendez-vous médicaux. En effet, il était connu pour être un hypocondriaque de naissance. En 2012, il témoignait de son quotidien au « Figaro » : « Pour une toute petite douleur, ou une rougeur nouvelle, je consulte ! J’imagine toujours le pire. Il y a la peur de la mort derrière… » Une peur de la date fatidique de son dernier souffle qu’il affirmait lors d’un entretien en 2019 pour « Télé Star » : « Étant plus proche de la fin que du début, mon hypocondrie ne s’arrange pas. À la moindre douleur, j’envisage le pire. » 

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