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« J’ai eu une impression de mort imminente » : Gilles Bouleau ému après un reportage de TF1

Gilles Bouleau n’est pas homme à se défiler. Il raconte ainsi son expérience troublante vécue dans le cadre d’un reportage pour TF1.

« J’ai eu une impression de mort imminente » : Gilles Bouleau ému après un reportage de TF1

Le traditionnel défilé militaire qui fait la fierté de la France a encore une fois tenu toutes ses promesses. Les journalistes de TF1 et France 2 ont comme chaque année couvert l’événement dans leur intégralité. Ils se sont également prêtés au jeu d’exercices plus ou moins périlleux.

Le défilé du 14 juillet, un événement télévisuel 

En cette année olympique, les militaires ont descendu la magnifique avenue Foch, à défaut de pouvoir descendre les Champs Élysées. Une avenue qui était filmée sous toutes les coutures depuis l’aurore.

TF1 et France 2 sur le pied de guerre dès le lever du soleil 

Les deux grandes chaines nationales étaient en effet en direct depuis 6 h pour TF1 et 7 h pour France 2. Un temps d’antenne considérable, qu’il faut savoir meubler. C’est la raison pour laquelle de nombreux reportages sont réalisés en amont par les différents journalistes en charge de la présentation du défilé.

Anne-Claire Coudray avec les 3 brigades d’intervention 

On a ainsi pu voir Anne-Claire Coudray évoluer aux côtés des unités d’élites du GIGN, du RAID et de la BRI. La journaliste a suivi de l’intérieur une simulation d’intervention lors d’une prise d’otage. Des images magnifiques sur son bateau lancé à pleine allure sur la Seine.

Gilles Bouleau rejoint les tireurs du GIGN 

De son côté, Gilles Bouleau a, lui aussi, donné de sa personne pour faire vivre aux téléspectateurs une expérience assez unique. Il a en effet servi de cible vivante aux tireurs d’élites du GIGN. Un moment de solitude que le journaliste n’est pas près d’oublier.

Des exercices de tirs attendaient Gilles Bouleau

Il s’était ainsi rendu pour les besoins de son reportage à Versailles, qui abrite le QG du GIGN. Il était attendu de pied ferme par les opérateurs de la célèbre unité d’intervention de la gendarmerie. Ceux-ci avaient en effet prévu de lui faire jouer le rôle de cobaye lors d’exercices de « tir coordonné » et de « tir de confiance ».

Comme chaque 14 juillet, les journalistes des deux grandes chaines nationales redoublent d’imagination pour proposer des contenus toujours plus spectaculaires. Cette année, Gilles Bouleau a clairement donné de sa personne lors de sa rencontre avec les tireurs d’élite du GIGN.

TF1 et France 2 sur le pied de guerre dès le lever du soleil

Le traditionnel défilé militaire qui fait la fierté de la France a encore une fois tenu toutes ses promesses. Les journalistes de TF1 et France 2 ont comme chaque année couvert l’événement dans leur intégralité. Ils se sont également prêtés au jeu d’exercices plus ou moins périlleux. En cette année olympique, les militaires ont descendu la magnifique avenue Foch, à défaut de pouvoir descendre les Champs Élysées. Une avenue qui était filmée sous toutes les coutures depuis l’aurore. Les deux grandes chaines nationales étaient en effet en direct depuis 6 h pour TF1 et 7 h pour France 2. Un temps d’antenne considérable, qu’il faut savoir meubler. C’est la raison pour laquelle de nombreux reportages sont réalisés en amont par les différents journalistes en charge de la présentation du défilé.

Gilles Bouleau rejoint les tireurs du GIGN

On a ainsi pu voir Anne-Claire Coudray évoluer aux côtés des unités d’élites du GIGN, du RAID et de la BRI. La journaliste a suivi de l’intérieur une simulation d’intervention lors d’une prise d’otage. Des images magnifiques sur son bateau lancé à pleine allure sur la Seine. De son côté, Gilles Bouleau a, lui aussi, donné de sa personne pour faire vivre aux téléspectateurs une expérience assez unique. Il a en effet servi de cible vivante aux tireurs d’élites du GIGN. Un moment de solitude que le journaliste n’est pas près d’oublier. Il s’est ainsi rendu pour les besoins de son reportage à Versailles, qui abrite le QG du GIGN. Il était attendu de pied ferme par les opérateurs de la célèbre unité d’intervention de la gendarmerie. Ceux-ci avaient en effet prévu de lui faire jouer le rôle de cobaye lors d’exercices de « tir coordonné » et de « tir de confiance ».

Gilles Bouleau devient la cible des tireurs du GIGN

On a donc pu voir Gilles Bouleau se positionner à une quinzaine de mètre d’un militaire armé. Il était entièrement habillé d’un gilet pare-balles sur lequel était attachée une assiette orange. Celle-ci faisant office de cible. Légèrement concerné par ce qui l’attendait, le présentateur du JT de TF1 s’est tout de même prêté au jeu. Une fois l’exercice terminé et la cible pulvérisée, Gilles Bouleau est revenu sur les sensations qu’il avait ressenties. « On sent l’impact. C’est comme un coup de poing au plexus ». Avant de conclure : « J’ai accepté de me prêter à ces exercices parce que je suis avide de toutes nouvelles expériences ». Une expérience de plus donc pour le journaliste qui n’est pas sans lui rappeler celle qu’il fait vécu lors du défilé de 2022.

Le saut en parachute de Gilles Bouleau

Le parisien de naissance est en effet un homme d’action et de défi. Il avait ainsi sauté en parachute au-dessus de Paris lors des festivités de 2022. Il avait d’abord survolé la capitale en hélicoptère, passant en revue tous les plus beaux monuments de Paris. Puis accompagné d’un membre de la Sécurité civile militaire, il s’était jeté dans le vide à près de 800 m d’altitude. Il s’était par la suite exprimé sur cette expérience extraordinaire : « Il n’y avait pas de garde-corps, aucune armature. J’ai eu une impression de mort imminente ». On attend avec impatience de voir ce que Gilles Bouleau va nous réserver pour l’année prochaine.

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