En noir et blanc, Brigitte Macron et Mary de Danemark rayonnent sous le soleil de Paris
L’une en Louis Vuitton, la seconde en Dior : Brigitte Macron et Mary de Danemark incarnaient le chic à la française ce lundi 31 mars au sein de la cour des Invalides à Paris, lors d’une cérémonie d’accueil organisée en l’honneur de cette dernière et de son époux Frederik X, en visite d’État de trois jours en France.
Des retrouvailles au sommet du style. La reine Mary de Danemark et son époux Frederik X sont arrivés en France le temps d’une visite d’État de trois jours. Au programme ? Des échanges relatifs à l’économie et à la culture. Après un atterrissage à l’aéroport d’Orly ce lundi 31 mars, le couple royal a été accueilli en grande pompe par Brigitte et Emmanuel Macron durant une cérémonie organisée au sein de la Cour d’Honneur des Invalides. C’est tout de noir vêtue que la Première dame a fait son apparition. Alors que le printemps qui s’installe progressivement, l’épouse du président de la République est restée fidèle à son style signature en portant un ensemble de mi-saison. La mère de Tiphaine, Laurence et Sébastien était sublimée d’une petite une veste hybride qui oscillait entre le cardigan et le blazer militaire.
Rehaussée de rangées de boutons dorés, cette tenue chic n’était pas sans rappeler celle portée à l’occasion de la visite du Mémorial de l’Holocauste à Berlin, le 27 mai 2024. Seule différence ? La taille des boutons. L’ancienne professeure, qui a pris de la hauteur juchée sur des escarpins à bouts pointus, dévoilait ses jambes interminables dans une mini-robe assortie à sa veste. Une longueur en totale adéquation avec les préférences de Brigitte Macron qui déclarait à ce sujet dans les colonnes de Madame Figaro en mars 2024 : « J’ai également du mal avec la longueur au-dessous du genou. Moi, c’est résolument au-dessus ! Une robe, c’est court ou c’est long ! ». Et d’ajouter : « Si j’en crois ce que j’entends, les femmes de mon âge sont très contentes que je m’habille ainsi : je ne sais pas pourquoi, mais cette apparence donne l’impression que je suis une femme libre. C’est une image que je renvoie à mon insu. »
