“D’où ils me prêtent une Jaguar?” : Jamel Debbouze a planté la voiture de luxe d’un grand patron, à qui il doit beaucoup
Ce jeudi, Jamel Debbouze accorde une interview fleuve au magazine “Society”. L’humoriste revient sur ses débuts à la radio et ce grand patron de presse français qui lui a permis de conduire une voiture de luxe avec laquelle il a malheureusement eu un accident quelques jours plus tard.
Jamel Debbouze est de retour avec un film qui fait déjà beaucoup parler. Le 19 février prochain, le mari de Mélissa Theuriau sera à l’affiche de Mercato, le dernier projet de Tristan Séguéla, le réalisateur de la série sur Bernard Tapie.
Dans ce film, l’humoriste joue le rôle d’un agent de joueur de football en pleine période de transfert et pour la promotion du film, celui qui a poussé à bout une star de H, obligée de quitter la série, a donné une longue interview à Society ce jeudi 30 janvier. L’occasion pour le père de Léon et Lila d’évoquer sa vie et notamment ses débuts, lui qui s’est fait connaître grâce à ses prestations sur Radio Nova à la fin des années 1990.
Une époque dorée pour la radio fondée en 1981 par Jean-François Bizot, puisqu’elle a permis de révéler de nombreux talents à l’image d’Édouard Baer et Ariel Wizman, qui ont fait leurs armes sur les ondes de Radio Nova. “Moi, c’est Bizot qui m’a découvert avec Jacques Massadian, qui était mon manager à un moment. (…) C’étaient des gens vrais, faciles, humains, qui m’ont appris la vraie générosité. L’ouverture
Les dimanches, tous les halls de bâtiments étaient branchés sur Nova avec Cut Killer et Big Brother Hakim et on passait notre temps à tourner sur la tête”, se souvient l’acteur qui s’est rendu à l’avant-première de Mufasa : Le Roi Lion accompagné de ses enfants Léon et Lila le mois dernier, avant de poursuivre : “Quand j’ai eu l’occasion de travailler à Radio Nova, j’avais l’impression d’être dans un temple consacré à la rue, à l’underground, à la bizarrerie, un endroit qui permettrait de faire le trait d’union entre nous et le mainstream, d’une certaine manière.”
Jamel Debbouze abîme la Jaguar sur le périphérique
Visiblement, Jamel Debbouze garde un très bon souvenir de Jean-François Bizot, décédé en 2007 et qui avait une personnalité haute en couleurs. “C’étaient des oufs ! En fait, je dis en déconnant à Jacques Massadian : ‘Tu me prêtes ta voiture ? Il dit non, évidemment, mais Bizot lui fait : ‘Oh ça va, laisse-le
C’est rien.’ Il avait le ‘c’est rien’ fastoche, Jean-François Bizot. Mais d’où ils me prêtent une Jaguar, pour rentrer à Trappes ? La voiture, elle fait 22 mètres, et ça fait un jour que j’ai le permis !”, raconte l’acteur dont le fils Léon se bagarre pour réussir dans un milieu très compétitif.
Et visiblement, l’histoire ne s’est pas très bien terminée, comme le racontent nos confrères de Society. “Après quelques jours à passer au ralenti dans chaque rue de Trappes, Jamel finira par planter le véhicule sur le périphérique”, précisent-ils