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Argent public : la fille de Brigitte Macron au cœur de fausses accusations, l’Elysée dément

Une fausse information a circulé sur les réseaux sociaux ces derniers jours rapportant que l’Élysée avait acquis un tableau de Laurence Auzière, fille de Brigitte Macron, pour la somme de 560 000 euros. L’internaute à l’origine de cette rumeur a quelque peu rétropédalé.

La présidence a rapidement démenti. Alors que des internautes se sont insurgés sur les réseaux sociaux en raison d’un possible achat par l’Élysée d’un tableau réalisé par Laurence Graffenstaden, de son vrai nom Laurence Auzière, la fille de Brigitte Macron, le Palais a affirmé n’avoir jamais acheté une telle oeuvre, dont le prix était estimé à 560 000 euros. «Tout est faux», a assuré l’Élysée au Parisien, ce vendredi 2 mai. «Véritable scandale», «à la limite du détournement de bien public» : telles sont les réactions que l’on pouvait lire sur X notamment

Selon Pierre Champigny, un internaute qui a monté en épingle cette rumeur, le but de cet achat était de «monter artificiellement» la «cote» de l’artiste. Or, seulement quelques heures après, ce dernier a précisé que son information comportait des «inexactitudes», et notamment le prix d’achat qui oscillerait entre 8 000 et 10 000 euros, une somme bien loin de celle annoncée initialement. Il ajoute que la véracité du reste des informations est «facilement vérifiable», sans donner aucune preuve de ces propos.

La famille de la Première Dame souvent visée
Ce n’est pas la première fois que la famille fait l’objet de théories conspirationnistes sur les réseaux sociaux. Celle qui refait surface régulièrement énonce que Brigitte Macron, née Trogneux, serait une femme transgenre dont le prénom de naissance était Jean-Michel. Des rumeurs bien évidemment démenties par la Première Dame ainsi qu’Emmanuel Macron. Le chef de l’État déplorait, en mars 2024, «les fausses informations et les scénarios montés» qui affectent leur «intimité».

Quant à Laurence Auzière, elle a commencé dans l’art contemporain avec son compagnon, Mathieu Gasser, au mois de novembre dernier. Ils réalisent leurs oeuvres sous le pseudo Laurence Graffenstaden, un hommage à la ville alsacienne dans laquelle il a grandi. Sur le site de la maison de vente aux enchères Saint Paul Auction, le couple a mis au goût du jour un nouveau concept : «Réaliser des œuvres à partir de cellules humaines. Une fois collectées, celles-ci sont colorées, scannées et photographiées au microscope puis peintes à nouveau».

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